Comment allier bonne santé et alimentation d’ici 2050 ?

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Laurie
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Je suis Laurie, 29 ans, rédactrice web passionnée. Née avec le chant des cigales, élevée dans l'odeur de la lavande, je façonne mon univers numérique avec des mots soigneusement choisis pour vous apporter tout ce dont vous avez besoin.

L’alimentation est un enjeu majeur pour les prochaines années. L’Inserm a dévoilé dans son numéro de juillet comment l’être humain de 2050 devra se nourrir, afin de garantir son bien-être, mais aussi celui de la planète.

Retrouver le plaisir de bien manger

Aujourd’hui, en France, l’obésité touche 17% des français, entraînant des problèmes de diabètes, de maladies cardio-vasculaires, de cancers et autres complications. Dans ces conditions, exit les fast-food et autres produits industrialisés, il est important de retrouver l’art de cuisiner des produits frais pour bien manger. Si c’est le temps qui manque, il existe aujourd’hui des alternatives permettant de recevoir chaque semaine des ingrédients frais livrés directement chez vous, afin de pouvoir manger sain tout en apprenant et en conservant le plaisir de cuisiner.

L’humain de 2050 devra privilégier les fruits et les légumes et consommer beaucoup moins de viande rouge, celle-ci possédant une forte teneur en mauvaises graisses. Le gluten, les œufs et les produits laitiers seront aussi mis au banc des accusés, étant souvent à l’origine de troubles digestifs.

Repenser son alimentation pour préserver l’environnement

Avec une population de plus en plus élevée, le risque de ne pas changer ses mauvaises habitudes alimentaires, c’est aussi celui de nuire aux écosystèmes. Sans régulation, une surproduction provoquerait des déforestations, de la pollution des eaux ou des sols et un épuisement des ressources.

L’agriculture intensive a déjà aujourd’hui contribué à une forte augmentation des gaz à effet de serre provoquant le réchauffement climatique. En 2050, la part belle sera donc faite à l’agriculture biologique, beaucoup plus respectueuse de l’environnement : selon l’Inserm, le biologique produit entre 8 et 25% de moins que l’agriculture conventionnelle.

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